Instant de mort survie
- 2 juillet 2011 -
une date qui restera gravée à jamais.
Quand larmes et sourires s'emmêlent
Quand la mort intruse s'invite à la fête
Quand un coeur bat et qu'un autre s'en va.
Instant de vie, instant de mort survie
ont entamé une danse moribonde.
Pour toi maman...
Ma maman nous a quitté en février 2011, j'ai cru que je ne retrouverai jamais mon état "normal", toute l'année 2011 a été pour moi une année vécue dans une bulle, pourtant j'ai des enfants, un homme mais... Je me retrouve un peu depuis janvier, tout doucement... Je te souhaite beaucoup de courage et t'encourage à essayer de voir positif même dans les difficultés car si il y a quelque chose que j'ai retenu c'est que si on broie du noir, on peine à s'en sortir ; gros bisou
RépondreSupprimer@Elysee.or
RépondreSupprimercomme je te comprends et j'en suis très triste pour toi même si chacune vit son deuil différemment la peine reste la même mais cela prend du temps et on oublie jamais vraiment les êtres chers qui sont partis (mon père est parti il y a 16 ans déjà et j'y pense toujours). Etre bien entourée est très important dans ces moments là surtout quand tous les souvenirs resurgissent qu'ils soient bons ou mauvais, tout ce qui y est associé revient en mémoire et tourne en boucle dans nos pensées, difficile de faire autrement. Comme tu le dis si bien, on est dans une bulle à certains moments, personne ne peut comprendre ou ressentir ce que l'on ressent de la même manière c'est impossible. Pour moi le problème est que tout cela a fortement dégradé ma santé qui n'était déjà pas au top à ce moment là. Mon moral en a pris un gros coup sans compter des douleurs et une immobilité forcée qui ont nécessité une hospitalisation et un traitement à long terme car ce n'était plus supportable et mon état était plus que préoccupant, impossible de l'ignorer plus longtemps. Je n'arrivais plus à marcher, je me déplacais en béquilles chez moi et en fauteuil roulant à l'extérieur. Mes journées je les passais assise sur un fauteuil ou dans mon lit à cause des douleurs. Des mauvaises nouvelles en chaine pour la santé d'un de mes fils puis de ma fille en ont aussi été la cause et n'ont rien arrangé. Dur dur d'accepter que ses enfants soient eux aussi malades et pourtant il faut les booster pour qu'ils ne baissent pas les bras même quand la force manque certains jours pour soi. La vie n'est pas toujours simple à vivre et elle est même plutôt injuste quelquefois mais bon on a pas trop le choix, il faut faire avec et essayer de la vivre au mieux. Maintenant c'est le tour de mon doudou qu'il faut motiver car il risque de perdre l'usage de ses yeux avec son diabète, un oeil est déjà sérieusement atteint, il ne voyait presque plus, l'autre doit être sauvé à tout prix. Merci à toi et bonne fin de semaine :) bizzz